« Rester Barbare » interroge la résistance à l’intégration des communautés jugées barbares. « Comment ne pas se laisser ensauvager et rétrécir par ce que le racisme dit que nous sommes » est la question que l’autrice propose aux personnes issues de l’immigration postcoloniale. En retournant le stigmate de « barbare » et convoquant plusieurs figures esthétiques issues des communautés noires et arabes, l’autrice dresse un état des lieux critique de la décolonisation et des effets du colonialisme dans la France d’aujourd’hui tout en nous proposant de puiser au sein de notre épaisseur historique la force de résister au monde qui souhaite l’anéantissement d’une part de la population.
A travers cet atelier d’arpentage*, plusieurs thèmes et questions pourront être mis en débat :
Pour approfondir cette lecture, nous proposerons des liens avec les études suivantes :
https://www.theatredelaparole.be/genre-et-colonialite/
https://www.theatredelaparole.be/la-guerre-des-mots/
Remarque: le livre est fourni sur place
Intervenantes : Camille Bakkali (philosophe) et Esther Claerbout (philosophe)
Qu'est-ce que l'arpentage?
L’arpentage est une technique de lecture collective d’un ouvrage. En procédant à un découpage et une répartition des parties entre les participant·es, il s’agit de s’approprier ensemble la pensée d’un.e auteur·ice. La mise en commun s’effectue au sein d’un dispositif d’échanges et d’une analyse critique des idées et enjeux développés par l’auteur·ice.
Gratuit
Camille Bakkali et Esther Claerbout vous propose cet atelier d’arpentage (technique de lecture collective) autour du livre « Rester Barbare » de Louisa Yousfi
Maison du Prieur
Locaux pédagogiques
Site du Rouge-Cloître
1160 Auderghem
1er étage sans ascenseur
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Qu’est-ce que l’arpentage?
L’arpentage est une technique de lecture collective d’un ouvrage. En procédant à un découpage et une répartition des parties entre les participant·es, il s’agit de s’approprier ensemble la pensée d’un.e auteur·ice. La mise en commun s’effectue au sein d’un dispositif d’échanges et d’une analyse critique des idées et enjeux développés par l’auteur·ice.
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